Samedi 27 septembre 2014, 7h50,
4 chiens : Edelweiss, Féline, Flèche, Finette.
Libaros, lieu dit devant chez Sabat. Temps de saison, 8°C au lever du jour, 13°C à 11h00, petite rosée mais sol très très sec en sous bois.
6h00 le réveil sonne et m’arrache des bras de Morphée. J’avale un puis 2 café et de quoi tenir la matinée… Aujourd’hui chose rarissime je vais chasse seul. La matinée s’annonce avec zéro contrainte du 100% plaisir.
Je vais au chenil pour équiper les chiens et entre les blessés, les chaleurs et la battue du lendemain, le choix se fait logiquement. Ce sera donc avec Edelweiss, Féline, Finette et Flèche, que des chiens sur, donc zéro stress de ce coté là aussi.
6h58, on démarre la voiture. Je suis en avance, il fait encore bien nuit, donc je roule tout tranquillement en pensant à tout et à rien, en espérant une belle poursuite.
7h50 je lâche les chiens. Ils sont calme, ils se ressentent encore de la grosse chasse de jeudi (ou Nico à manqué son premier renard de la saison…). J’entame la quête et en passant en bordure d’un petit fourré, les 4 chiens se mettent à venter le nez en l’air avec insistance. Je comprends que ça ne va pas trainer, le renard est là. Ils sautent dans les ronces en se faisant la coulée et c’est le lancer à 8h00. Le renard fait un petit tour pour comprendre ce qui se passe et file vers le sud le long du ruisseau du Lautan. Il oblique ensuite plein est et remonte la sapinière. Bizarrement flèche décroche et je la remets sur la voie avec pas mal de retard sur les trois autres. A la crête du bois, il débuche en plaine et part dans les grandes parcelles de maïs. J’arrive avec du retard en haut de la colline (j’ai moi aussi quelques kilo en trop en ce début de saison) et je reprends contact avec la chasse. J’essaye de me poster
dans un clair qui me semble favorable mais j’y crois pas trop. En effet les chiens se dirigent vers des terriers plus en avant que ma position. J’entends flèche qui recolle au paquet, les chiens passent au dessus des terriers et continue derrière le renard qui ne s’est pas terré. Je me rends sur ces terriers en espérant que le renard y repasse. J’entends les chiens qui s’éloignent tout en oservant un écureuil un écureuil dans les noisetiers affairé à constituer ses réserves pour l’hiver.
Le chiens reprennent la direction de l’est mais passent bien loin de moi pour repartir dans les grande étendue de maïs. Je me déposte et suit la chasse de loin. Je suis dans un secteur ou je ne connais pas les passages et je suis d’ailleurs tellement à la bourre que j’ai peu d’espoir de faire feu. Les chiens poursuivent plein nord : Décidément aujourd’hui je ne suis pas dans le coup. Ils traversent la route et le goupil va se faire battre au fourré. Il repasse sur les terriers pour la deuxième fois et débuche à nouveau en plaine dans les champs de maïs. Flèche encore une fois décroche mais rejoindra rapidement le lot. Entre temps je recolle un peu à la chasse et j’arrive à temps pour voir les chiens repasser du maïs au bois. Je décide de repartir me poster à fond à ces fameux terriers. Les chiens sont loin mais ils se rapprochent. Tout d’un coup je vois le renard, mais n’étant pas assez attentif, il m’a vu avant moi
et lorsque je l’aperçois il est déjà en train de faire demi tour et de se soustraire de ma vue. Ca fait 1h30 qu’il court, les chiens arrivent avec 3 ou 4 minutes de retard et passent dans le couvert pour le pousser à nouveau dans le champ de maïs. Il tourne un peu à l’intérieur en empruntant le même circuit qu’au tour précédent si bien que les chiens finissent par le perdre. Le soleil commence à cogner il est bientôt 10h00 et je décide de rentrer après cette belle poursuite.
De gauche à droite : Finette, Edelweiss, Flèche, Féline.
4 chiens : Edelweiss, Féline, Flèche, Finette.
Libaros, lieu dit devant chez Sabat. Temps de saison, 8°C au lever du jour, 13°C à 11h00, petite rosée mais sol très très sec en sous bois.
6h00 le réveil sonne et m’arrache des bras de Morphée. J’avale un puis 2 café et de quoi tenir la matinée… Aujourd’hui chose rarissime je vais chasse seul. La matinée s’annonce avec zéro contrainte du 100% plaisir.
Je vais au chenil pour équiper les chiens et entre les blessés, les chaleurs et la battue du lendemain, le choix se fait logiquement. Ce sera donc avec Edelweiss, Féline, Finette et Flèche, que des chiens sur, donc zéro stress de ce coté là aussi.
6h58, on démarre la voiture. Je suis en avance, il fait encore bien nuit, donc je roule tout tranquillement en pensant à tout et à rien, en espérant une belle poursuite.
7h50 je lâche les chiens. Ils sont calme, ils se ressentent encore de la grosse chasse de jeudi (ou Nico à manqué son premier renard de la saison…). J’entame la quête et en passant en bordure d’un petit fourré, les 4 chiens se mettent à venter le nez en l’air avec insistance. Je comprends que ça ne va pas trainer, le renard est là. Ils sautent dans les ronces en se faisant la coulée et c’est le lancer à 8h00. Le renard fait un petit tour pour comprendre ce qui se passe et file vers le sud le long du ruisseau du Lautan. Il oblique ensuite plein est et remonte la sapinière. Bizarrement flèche décroche et je la remets sur la voie avec pas mal de retard sur les trois autres. A la crête du bois, il débuche en plaine et part dans les grandes parcelles de maïs. J’arrive avec du retard en haut de la colline (j’ai moi aussi quelques kilo en trop en ce début de saison) et je reprends contact avec la chasse. J’essaye de me poster
dans un clair qui me semble favorable mais j’y crois pas trop. En effet les chiens se dirigent vers des terriers plus en avant que ma position. J’entends flèche qui recolle au paquet, les chiens passent au dessus des terriers et continue derrière le renard qui ne s’est pas terré. Je me rends sur ces terriers en espérant que le renard y repasse. J’entends les chiens qui s’éloignent tout en oservant un écureuil un écureuil dans les noisetiers affairé à constituer ses réserves pour l’hiver.
Le chiens reprennent la direction de l’est mais passent bien loin de moi pour repartir dans les grande étendue de maïs. Je me déposte et suit la chasse de loin. Je suis dans un secteur ou je ne connais pas les passages et je suis d’ailleurs tellement à la bourre que j’ai peu d’espoir de faire feu. Les chiens poursuivent plein nord : Décidément aujourd’hui je ne suis pas dans le coup. Ils traversent la route et le goupil va se faire battre au fourré. Il repasse sur les terriers pour la deuxième fois et débuche à nouveau en plaine dans les champs de maïs. Flèche encore une fois décroche mais rejoindra rapidement le lot. Entre temps je recolle un peu à la chasse et j’arrive à temps pour voir les chiens repasser du maïs au bois. Je décide de repartir me poster à fond à ces fameux terriers. Les chiens sont loin mais ils se rapprochent. Tout d’un coup je vois le renard, mais n’étant pas assez attentif, il m’a vu avant moi
et lorsque je l’aperçois il est déjà en train de faire demi tour et de se soustraire de ma vue. Ca fait 1h30 qu’il court, les chiens arrivent avec 3 ou 4 minutes de retard et passent dans le couvert pour le pousser à nouveau dans le champ de maïs. Il tourne un peu à l’intérieur en empruntant le même circuit qu’au tour précédent si bien que les chiens finissent par le perdre. Le soleil commence à cogner il est bientôt 10h00 et je décide de rentrer après cette belle poursuite.
De gauche à droite : Finette, Edelweiss, Flèche, Féline.