Dimanche 29 Septembre 2013.
17 chiens : Moi : Edelweiss, Erine, Fleur, Flèche, Finette, Fugasse, Gambade, Habi, Horphée, à Peyo : Bingo, Enzo, Enzo 2, Eaude, Fanny, Ficelle, Goliath, Gitane.
Peyo, Moi et une quinzaine de postés.
Oueilloux, Temps très lourd, quelques légères averses orageuses mais très sec au sol, notamment au bois.
L’humeur est plutôt morose pour moi car j’ai perdu en ce début de semaine ma petite Mirette.
C’était la dernière briquette de pays que j’avais dans la meute, une chienne d’une très très grande affectuosité et que j’aimais beaucoup. Elle à été emporté très rapidement par une crise d’urée malgré tout les soins que les l’équipe vétérinaire a pu lui apporter. Elle n’avait que 7 ans et c’était une bonne chienne à renard. Elle a quand même pu en ce début de saison participer à 2 chasses ou elle était d’ailleurs encore en super forme avec sa voix inimitable qui ne mentais pas.
Je me console en me disant qu’elle a pu vivre sa passion jusqu’à la fin, mais elle était quand même bien jeune.
Au revoir ma petite Mirette.
Premier compte rendu de cette saison à l’occasion de la première battue de cette année en compagnie de Peyo.
Nous découplons en bordure d’un grand fourré, les chiens sont sur les dents et ils se chauffent un peu sur une rentrée. La plupart ressortent sauf Eaude qui lance au cœur du sale au bout de quelques minutes. L’ensemble rallie avec quelque difficulté vu la taille et l’épaisseur du fort. Le renard fait un petit parcours et se terre rapidement. On rappelle les chiens et sur le retour Flèche et Fleur, rapidement accompagné de Finette et Edelweiss lance un autre renard qui sera très dur à mener et qui se terrera lui aussi rapidement.
Le temps est très lourd et le chiens reviennent déjà bien fatigué… nous continuons notre quête et un peu de confusion règne. Ficelle trouve un renard dans un fourré mais aucun autre chien n’arrive à rallier. Le renard se terre ou est perdu. De ce temps Bingo au loin lance un renard qui revient vers nous. La meute rallie, le renard est tiré et manqué et va se terrer après un joli circuit.
On rappelle les chiens et nous partons le faire boire à une prise pour cuve à eau. On continue notre traque en direction du Sud et les chiens lancent un nouveau goupil. Celui-ci est joueur et va se faire battre au nez des chiens dans un tapis de ronce des plus épais et en plus en forte pente. Les chiens ont le renard à la ‘‘gueule’’ et les jeunes sont comme des lions : Les ronces sont secoués dans tout les sens et la menée avec les 17 chiens est vraiment des plus sonore. Le fauve n’a pas d’autres solution que de gicler à la route ; les chiens se font berner en croyant qu’il a suivi le goudron mais Bingo redresse la voie car dans l’empressement le renard à traversé dans un endroit sans coulée. Il continue son parcours et prend la plaine pour se faire battre dans les maïs. La voie semble bonne dans ce biotope et la menée va très vite (pour des griffons). Quelques chiens encore un peu gras et/ou pas trop entrainé explosent et n’arrive pas à suivre la cadence. Le renard sort du maïs et replonge dans le bois par un endroit stratégique, tenu par aucun posté. Il se fait à nouveau mener dans du sale passe au poste de mon père qui lui envoi 2 coup de fusil, recharge lui envoi un troisième coup qui n’aura pas plus d’effet que les 2 premiers.
Du coup le renard ressort en plaine par le même poste (le stratégique). De nouveau il fait un grand parcours dans les maïs et rentre dans une grande parcelle entourée de prairie. L’ensemble des chiens est maintenant bien fatigué et le renard arrive à les mettre en défaut à force de tourner dans ce grand carré. Je rappelle les chiens et en revenant vers moi Erine retombe sur le renard qui s’était tapis à quelques 20 ou 30m de moi. Le renard saute a travers les près dans le bois et ce coup ci se terre rapidement.
Les chiens sont cuits, le temps de discuter un peu entre nous la plupart sont déjà couché à nos pieds.
Il est l’heure de rentrer après une belle matinée passé sur ce territoire vif en renard.
17 chiens : Moi : Edelweiss, Erine, Fleur, Flèche, Finette, Fugasse, Gambade, Habi, Horphée, à Peyo : Bingo, Enzo, Enzo 2, Eaude, Fanny, Ficelle, Goliath, Gitane.
Peyo, Moi et une quinzaine de postés.
Oueilloux, Temps très lourd, quelques légères averses orageuses mais très sec au sol, notamment au bois.
L’humeur est plutôt morose pour moi car j’ai perdu en ce début de semaine ma petite Mirette.
C’était la dernière briquette de pays que j’avais dans la meute, une chienne d’une très très grande affectuosité et que j’aimais beaucoup. Elle à été emporté très rapidement par une crise d’urée malgré tout les soins que les l’équipe vétérinaire a pu lui apporter. Elle n’avait que 7 ans et c’était une bonne chienne à renard. Elle a quand même pu en ce début de saison participer à 2 chasses ou elle était d’ailleurs encore en super forme avec sa voix inimitable qui ne mentais pas.
Je me console en me disant qu’elle a pu vivre sa passion jusqu’à la fin, mais elle était quand même bien jeune.
Au revoir ma petite Mirette.
Premier compte rendu de cette saison à l’occasion de la première battue de cette année en compagnie de Peyo.
Nous découplons en bordure d’un grand fourré, les chiens sont sur les dents et ils se chauffent un peu sur une rentrée. La plupart ressortent sauf Eaude qui lance au cœur du sale au bout de quelques minutes. L’ensemble rallie avec quelque difficulté vu la taille et l’épaisseur du fort. Le renard fait un petit parcours et se terre rapidement. On rappelle les chiens et sur le retour Flèche et Fleur, rapidement accompagné de Finette et Edelweiss lance un autre renard qui sera très dur à mener et qui se terrera lui aussi rapidement.
Le temps est très lourd et le chiens reviennent déjà bien fatigué… nous continuons notre quête et un peu de confusion règne. Ficelle trouve un renard dans un fourré mais aucun autre chien n’arrive à rallier. Le renard se terre ou est perdu. De ce temps Bingo au loin lance un renard qui revient vers nous. La meute rallie, le renard est tiré et manqué et va se terrer après un joli circuit.
On rappelle les chiens et nous partons le faire boire à une prise pour cuve à eau. On continue notre traque en direction du Sud et les chiens lancent un nouveau goupil. Celui-ci est joueur et va se faire battre au nez des chiens dans un tapis de ronce des plus épais et en plus en forte pente. Les chiens ont le renard à la ‘‘gueule’’ et les jeunes sont comme des lions : Les ronces sont secoués dans tout les sens et la menée avec les 17 chiens est vraiment des plus sonore. Le fauve n’a pas d’autres solution que de gicler à la route ; les chiens se font berner en croyant qu’il a suivi le goudron mais Bingo redresse la voie car dans l’empressement le renard à traversé dans un endroit sans coulée. Il continue son parcours et prend la plaine pour se faire battre dans les maïs. La voie semble bonne dans ce biotope et la menée va très vite (pour des griffons). Quelques chiens encore un peu gras et/ou pas trop entrainé explosent et n’arrive pas à suivre la cadence. Le renard sort du maïs et replonge dans le bois par un endroit stratégique, tenu par aucun posté. Il se fait à nouveau mener dans du sale passe au poste de mon père qui lui envoi 2 coup de fusil, recharge lui envoi un troisième coup qui n’aura pas plus d’effet que les 2 premiers.
Du coup le renard ressort en plaine par le même poste (le stratégique). De nouveau il fait un grand parcours dans les maïs et rentre dans une grande parcelle entourée de prairie. L’ensemble des chiens est maintenant bien fatigué et le renard arrive à les mettre en défaut à force de tourner dans ce grand carré. Je rappelle les chiens et en revenant vers moi Erine retombe sur le renard qui s’était tapis à quelques 20 ou 30m de moi. Le renard saute a travers les près dans le bois et ce coup ci se terre rapidement.
Les chiens sont cuits, le temps de discuter un peu entre nous la plupart sont déjà couché à nos pieds.
Il est l’heure de rentrer après une belle matinée passé sur ce territoire vif en renard.